Réaction d'Erika, élève de MMV1 :

"Ce que j'aime, c'est la solidarité et la bonne ambiance dans le groupe. C'est le fait de trouver de bonnes idées ensemble pour essayer de gagner ce concours. Cet atelier m'aide à m'améliorer en couture et à me souvenir du passé, pour ne pas oublier et, à mon tour, dénoncer ce qu'il s'est passé".

Réaction de Marie, élève de MRCU1 :

Réaction de Mattéo, élève de MMV2 :

"J'ai choisi cet atelier car j'adore l'histoire et la couture. C'est très original de mélanger les deux. Ça me permet enfin de dire non et de m'engager contre l'antisémitisme, l'homophobie, le racisme, le sexisme, etc, ce que je voulais faire depuis longtemps. Je trouve ce projet très intéressant et je suis surpris par tous les documents historiques que l'on y voit. J'ai aimé travailler sur ce qu'il s'est passé en Europe, en France et dans ma région entre 1939 et 1945."

Il écrit également que cet atelier lui apporte :

Réaction de Joëlanne, élève de MMV1 :

"Ce que j'aime dans cet atelier, c'est d'y apprendre plein de choses sur ce qu'il s'est passé en Europe, en France et dans mon département , de faire des recherches et des points mains. Cet atelier m'apporte beaucoup d'informations importantes pour ma vie à venir de citoyenne et que je donnerai à mes futurs enfants. Il est important de savoir pour l'avenir, pour que ces répressions et déportations ne recommencent pas".

Réaction d'Etas, élève de MMV1 :

"Ce que j'aime dans cet AP, c'est les recherches et découvrir plein de choses que je ne connaissais pas ou mal. J'ai appris à m'engager et à dénoncer grâce à mes recherches l'antisémitisme et toutes les formes de haine. J'aurais aimé y faire plus de sorties et notamment visiter un camp d’extermination afin de voir en vrai et de réaliser les conditions de vie des détenus".

Réaction d'Iman, élève de MMV1 :

Réaction d'Aindy, élève de MMV1 :

"J'aime travailler comme ça, en groupe. On a l'impression d'appartenir à une communauté. On s’entraide beaucoup. J'aime pas trop l'histoire même si je sais que je dois savoir, mais mélanger avec la couture, ça passe mieux et j'arrive même à retenir des connaissances, car j'ai compris à quel point il est très important de ne pas oublier ce qu'il s'est passé".

Réaction d'Inès, élève de MMV1 :

"J'ai choisi cet atelier car il y avait de la couture et que le thème m'a plu".

Elle rajoute :

Réaction de Suhayla, élève de MMV1 :

Réaction de Moryféré, élève de MMV2 :

"J'ai choisi cet atelier pour la partie couture. Je voulais m'entrainer davantage sur la piqueuse plate. J'aime car il y a plein de travail à faire, c'est très varié entre la partie technique, pratique et l'histoire. Je ne m'ennuie pas. Bien au contraire, j'y apprends beaucoup aussi bien en histoire qu'en couture".

Réaction de Béline :

"Dans cet AP, on y apprend plein de choses en histoire et en couture. On fait de l'histoire d'une autre façon. On apprend autrement sans être assise, grâce à la couture. J'ai aimé me rendre compte de l'abondance des documents historiques et les utiliser pour dénoncer avec la fresque".

Réaction de Jahlyssa, élève de MRCU1 :

Elle rajoute : "J'aime le thème de ce concours que je trouve original même si c'est dur. J'aime bien apprendre comme on le fait dans cet AP qui m'instruit beaucoup. Je trouve super de mettre en lien l'histoire de l'Europe avec celle de la Seine-et-Marne".

Réaction de Lou-Anne, élève de MMV1 :

"J'aime la couture mais moins l'histoire. J'ai apprécié m'engager tout en y perfectionnant mes techniques de couture et en y découvrant d'autres. J'ai acquis plus de culture générale. Le mélange couture/histoire m'aide à écouter et à apprendre plein de choses importantes de mon passé pour mon futur".

Réaction d'Olivia, élève de MRCU1 :

Réaction de Matthéo, élève de MMV1 :

Il écrit : "Au début, ça m'a fait un peu peur quand on m'a annoncé qu'on allait participer au Concours National de la Résistance et de la Déportation. Mais on passe de bons moments pendant les heures de travail de cet AP".

Il rajoute :

Cette séance du 21 février a été différente des autres. Nous avons appris que les actes antisémites avaient explosé en 2018, que l'arbre planté en hommage à Ilan Halimi enlevé, torturé et laissé pour mort à Sainte-Geneviève-des-Bois en 2006 avait été scié, que l'on avait tagué sur le portrait de Simone Veil des croix gammées, que des inscriptions antisémites avaient été inscrites dans plusieurs villes de France, ...

Voici quelques réactions d'élèves :

Iman, élève de MMV1 :

"L'antisémitisme est un fléau. Personne ne devrait subir de discrimination à cause de sa ou ses différences. Tous les êtres humains devraient être unis. Nous appartenons tous à la même espèce. Aidons-nous au lieu de nous insulter, de nous humilier. Le calvaire subi par Ilan Halimi démontre encore une fois la cruauté et la bêtise de certains hommes. Il faut arrêter les stéréotypes. Tous les juifs ne sont pas riches et tous les arabes ne sont pas des terroristes.

C'est notre différence qui fait notre richesse et notre force. Et ça, c'est notre combat au sein de cet atelier".

Mattéo, élève de MMV1 :

"Notre engagement à ne pas oublier est important surtout avec ce qu'il se passe d'horrible dans le monde et en France. L'antisémitisme, le racisme, le sexisme, la xénophobie, l'homophobie, etc sont punis par la loi. Mais hélas tout le monde ne la respecte pas. J'écris ce mot pour que les gens s'investissent aussi, arrêtent de faire ça et de croire à tous les préjugés. Non, les juifs ne cherchent pas à dominer le monde et tous les Portugais ne sont pas des maçons !"

Mathéo, élève de MMV2 :

"Cet atelier me permet de réaliser que l'antisémitisme existe toujours et ne cesse de se développer. En 2018, les actes antisémites ont augmenté de plus de 75%. Il faut que les jeunes et les moins-jeunes se souviennent de ce qu'il s'est passé et sachent ce qu'il se passe encore en France en 2019. On ne doit plus voir le portrait de Simone Veil salie par des croix gammées et des philosophes recevoir des insultes antisémites".

Jahlissa, élève de MRCU1 :

"Aujourd'hui la haine ne cesse de se développer et de s'exprimer. Cela me détruit le cœur, surtout quand je regarde ce qu'il s'est passé dans l'histoire. Je ne comprends pas comment on a pu scié l'arbre rendant hommage à Ilan Halimi en 2019 en France. Toutes ces violences doivent s'arrêter pour le bien et le bonheur de tous."